Fichier fortune des répliques de La Classe Américaine

classeamericaine

Attention, ce flim n'est pas un flim sur le cyclimse. Merci de votre compréhension.
        -*- Le narrateur - La Classe Américaine -*-
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Monde de merde.
        -*- George Abitbol - La Classe Américaine -*-
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Ecoute-moi bien, mon petit José. Tu baises les ménagères ? Bien ! tu dois avoir le cul qui brille. Mais c'est pas ça qu'on appelle la classe.
        -*- George Abitbol - La Classe Américaine -*-
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Tu n'es vraiment pas très sympa.
        -*- George Abitbol - La Classe Américaine -*-
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Le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence
        -*- George Abitbol - La Classe Américaine -*-
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Je préfère partir plutôt que d'entendre ça plutôt que d'être sourd.
        -*- George Abitbol - La Classe Américaine -*-
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Si tu veux me parler, envoie-moi un fax !
        -*- George Abitbol - La Classe Américaine -*-
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C'est ça la puissance intellectuelle. Bac +2, les enfants !
        -*- George Abitbol - La Classe Américaine -*-
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Va te faire branler, trotskard.
        -*- George Abitbol - La Classe Américaine -*-
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Blablabla, j'ai les bonbons qui collent au papier.
        -*- George Abitbol - La Classe Américaine -*-
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On va manger... des CHIPS ! T'entends ?! Des CHIPS ! C'est tout ce que ça te fait quand je te dis qu'on va manger des chips ?
        -*- L'Indien - La Classe Américaine -*-
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Parce que si on réfléchit bien, moi j'suis un vrai démocrate. George est un fasciste de merde. Un FASCISTE de MERDE !
        -*- L'Indien - La Classe Américaine -*-
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À l’époque, j’étais moi-même cowboy, je vivais avec Jacques, un bon copain. Il y avait rien de sexuel entre nous. Je dis ça parce que je me suis souvent fait traiter de pédale, de salope. Et c’est facile de traiter les gens de pédés, tout ça parce que deux garçons vivent ensemble dans un ranch et portent des pantalons en cuir.
        -*- Hugues - La Classe Américaine -*-
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J'ai connu un mec de droite une fois, il avait dix fois plus de classe.
        -*- Hugues - La Classe Américaine -*-
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Je refuse de manger des ravioles. Mais par contre, je peux vous parler de madame Felipe. Elle s’est fait refaire les nichons, elle.
        -*- Hugues - La Classe Américaine -*-
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Ça commence à être pesant cette histoire de pédés. Tout le monde s’acharne sur nous alors qu’on n’est même pas pédés.
        -*- Hugues - La Classe Américaine -*-
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Enculé d'ta race !
        -*- Hugues - La Classe Américaine -*-
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Salopes !
        -*- Dave - La Classe Américaine -*-
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Je vais la métamorphoser ma tête de Français, tu vas voir. Tu vas pas en croire tes yeux.
        -*- Dave - La Classe Américaine -*-
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Alors les bouseux, qui va me parler de George ? Qui c’est qui va tout dire à Dave ? Bon, toi tu dis rien, c’est normal tu es une croix en bois, tu as qu’à te taire.
        -*- Dave - La Classe Américaine -*-
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Mettez des capotes.
        -*- Dave - La Classe Américaine -*-
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Tu connais pas Sheraf ? C’est un groupe, ils étaient number one.
        -*- Dino - La Classe Américaine -*-
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Regarde mes mains, saloperie ! Regarde, je me suis niqué les mains, moi, avec cette saloperie de collec’ de pin’s à la con.
        -*- Dino - La Classe Américaine -*-
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J’arrivais d’Italie, de Turin. À l’époque j’étais supporter de la Juventus.
        -*- Dino - La Classe Américaine -*-
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Avec George, je me souviens, on passait des après-midi entières à rester dans notre chambre à se chamailler gentiment, à se raconter des souvenirs...
        -*- Dino - La Classe Américaine -*-
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- Dino : Où j'ai connu George ? C'est une excellente question. À la ferme.
- L'ami de Dino : La ferme ? Quelle ferme ?
- Dino : A la ferme ta gueule toi ducon, espèce de crétin ! Qu'est-ce que tu veux, nous prendre la tête, là ? Pauvre con. Oui je l'ai connu à la ferme.
        -*- Dino et son ami - La Classe Américaine -*-
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Ah voilà enfin le roi de la classe, l'homme trop bien sapé, Abitbol ! Alors comme ça t'as été élu l'homme le plus classe du monde ? Laisse moi rire ! Style le grand play-boy des fonds marins, genre qui fait rêver les ménagères. Sauf que moi je les baise les ménagères !
        -*- José - La Classe Américaine -*-
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La vache ! Moi, j’ai l’air has been ? J’en ai pour plus d’une barre de fringues sur moi. Alors, va te faire mettre !
        -*- José - La Classe Américaine -*-
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Bien ! Considère qu'on est plus amis, Abitbol !
        -*- José - La Classe Américaine -*-
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Il commence vraiment à me faire chier, Dave.
        -*- Stévène - La Classe Américaine -*-
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J'ai bien dit gentil, pas homosexuel !
        -*- Stévène - La Classe Américaine -*-
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À quoi vous pensez si je vous dis « monde de merde » ?
        -*- Stévène - La Classe Américaine -*-
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Moi je veux être connu. Tu sais pourquoi ? Pour niquer des gonzesses. Quand tu es célèbre, tu niques plein de gonzesses.
        -*- Stévène - La Classe Américaine -*-
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Moi je suis sûr qu’on dit « quiche ». Enfin bon...
        -*- Stévène - La Classe Américaine -*-
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Tu poses mon bouquin d’exercices isométriques tout de suite !
        -*- Stévène - La Classe Américaine -*-
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Bon maintenant tu arrêtes ! Parce que je te ferais dire que pendant qu’on parle, Pétère il a la méga chiasse. Alors un peu de dignité, s’il te plaît !
        -*- Stévène - La Classe Américaine -*-
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Mon cher Pétère, me voici en Alaska, malgré le froid, malgré une mule impotente, malgré ma fausse barbe qui me gratte, je continue à croire en mon aventure.
        -*- Stévène - La Classe Américaine -*-
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Mon cher Pétère, j’ai perdu beaucoup de temps avec le blizzard. Je crois bien que j’ai pris froid.
        -*- Stévène - La Classe Américaine -*-
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Mon cher Pétère, me voilà dans le désert. J’ai un nouvel ami. Il me suit partout, mais il est un peu con.
        -*- Stévène - La Classe Américaine -*-
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On va bientôt niquer, on va bientôt niquer !
        -*- Stévène - La Classe Américaine -*-
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Si je comprends bien, on s’est tapé une enquête super dure, alors que si on vous avait rencontrée avant on aurait pu niquer tout de suite sans même être célèbres ?
        -*- Stévène - La Classe Américaine -*-
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On dit une ouiche lorraine.
        -*- Pétère - La Classe Américaine -*-
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Quels connards ces piétons !
        -*- Pétère - La Classe Américaine -*-
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Moi je me demande quand même s’il était pas un peu con.
        -*- Pétère - La Classe Américaine -*-
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J’ai la méga chiasse, putain, la méga chiasse !
        -*- Pétère - La Classe Américaine -*-
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Wow. Stévène ! Tu vas pas me croire. J’ai plus mal au bide. Je suis guéri. Par contre, on ne peut plus rentrer dans les chiottes, il y en a partout !
        -*- Pétère - La Classe Américaine -*-
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Eh, la choucroute ! Tu veux une saucisse ?
        -*- Pétère - La Classe Américaine -*-
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Très bien. Puisque vous ne voulez pas m’aider, allez vous faire enculer.
        -*- Pétère - La Classe Américaine -*-
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Sexe plus histoire de cul égal meurtre.
        -*- Pétère - La Classe Américaine -*-
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Bonjour. C'est moi Orson Welles. Ceci est ma maison que vous voyez derrière là. Pas mal non ? C'est français.
        -*- Orson Welles - La Classe Américaine -*-
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Je me permets d'interrompre ce flim parce qu'on se fout un peu de ma gueule. C'est du vol et du plagiat. J'aime pas trop les voleurs et les fils de pute.
        -*- Orson Welles - La Classe Américaine -*-
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- George : Les Anglais ont débarqué. On va être obligés de passer par derrière. Tu sais, par ce tunnel tout sombre qui sent pas très bon.
- Isabelle : Oh, George ! Quel poète, vous me surprenez. On ne m’a jamais parlé comme ça. J’ai connu des hommes, mais jamais des comme vous !
        -*- George Abitbol et Isabelle - La Classe Américaine -*-
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- George : Bon V12 c’est quoi ce bordel alors ?
- V12 : Ben ce bordel c’est qu’il pleut comme vache qui pisse !
- George : Ah bravo, merci du renseignement. Heureusement que tu es là.
- V12 : Mais patron !
- George : Quoi patron ? Tu veux que je dise à tout le monde que ton vrai nom c’est pas V12 c’est travers de porc sel-poivre ?
        -*- George Abitbol et V12 (travers de porc sel-poivre) - La Classe Américaine -*-
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- Dans la radio : Et maintenant, un petit peu de musique avec Alain Souchon.
- Dave : Oh non, pas lui...
        -*- Un animateur radio et Dave - La Classe Américaine -*-
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- Le patron du journal : Dave, tu tombes bien. On prépare un dossier sur George Abitbol. Tu vas te mettre sur le coup, mais tu seras pas tout seul, tu seras avec Pétère et Stévène.
- Dave : Pétère et Stévène, je les aime bien. Mais pourquoi je peux pas travailler seul ?
- Le patron du journal : Parce que t'es trop mauvais.
- Dave : Ah ben là patron vous m’avez convaincu, c’est une bonne raison. Je vais travailler avec Pétère et Stévène.
        -*- Le patron du journal et Dave - La Classe Américaine -*-
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- Le patron du journal : L’homme le plus classe du monde meurt, et ses dernières paroles c’est « monde de merde ». Pourquoi il a dit ça ? C’est ce que je veux savoir.
- Stévène : Merci, c’est pas facile à trouver.
- Le patron du journal : C’est sûrement un nom. Si c’est une femme, je veux savoir quelle femme, si c’est un cheval je veux savoir dans quelle course.
- Pétère : Nous, on pensait que ça pouvait être un traineau.
        -*- Pétère, Stévène et le patron du journal - La Classe Américaine -*-
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Je suis peut-être payé à rien foutre, mais mes tuyaux, je les garde pour mon fils. Mais comprenez-moi, c’est mon fils, ma bataille, c’est le fruit de mes entrailles quoi. J’avais un nom et une adresse, et ben je lui ai donné.
        -*- Callaghan - La Classe Américaine -*-
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Callaghan, il devrait pouvoir vous aider. Depuis le temps qu’il est là, payé à rien foutre, autant qu’il serve à quelque chose ce gros porc.
        -*- Le patron du journal - La Classe Américaine -*-
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- Dave : Connasse.
- La bonne d’Hugues : C’est vous qui m’avez traitée de connasse ?
- Dave : Mais non.
- La bonne d’Hugues : Vous savez, c’est pas très agréable.
        -*- Dave et la bonne - La Classe Américaine -*-
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Vous dites que j’aille me faire foutre ? Euh OK, j’y vais.
        -*- Le policier chez Hugues - La Classe Américaine -*-
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Eh, les pédés y'a une lettre pour vous ! Tenez. bonne bourre !
        -*- Le messager du Poney Express - La Classe Américaine -*-
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Allons, vieux, même dans les grands restaurants on crache dans les plats. Alors dans ce taudis, je vois pas pourquoi ils se feraient chier.
        -*- George Abitbol - La Classe Américaine -*-
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Tu sais, tes excuses tu peux te les coller au cul. Tout comme ton bifteck d'ailleurs, sauf que le bifteck, ça sert à rien, le patron l’a déjà fait. Il a craché dessus.
        -*- George Abitbol - La Classe Américaine -*-
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- George : Mêle-toi de tes affaires, toi. Tu sais bien que Madame Felipe, la patronne, se coupe des morceaux de nichon pour en faire des ravioles.
- Hugues : C’est dégueulasse, merde !
        -*- George Abitbol et Hugues - La Classe Américaine -*-
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Je vous conseille d’éviter la mousse au chocolat du patron.
        -*- George Abitbol - La Classe Américaine -*-
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- Dave : Qu’est-ce qui lui est arrivé, à ce chef indien ?
- Hugues : Il a fait justicier dans la ville. Mais aujourd’hui, il a fini de frimer. On l’a retrouvé assassiné un jour. Il en est mort.
        -*- Dave et Hugues - La Classe Américaine -*-
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- Dave : Allo Peter ? Prends un papier, je vais te donner le numéro d’un certain Jacques, faudrait l’interroger. C’est le 19 94 0 18 13 24 32 49 26 24 40 4 16 70933, 16 moins 4... Euh, attention il y a un piège...
- Pétère : 16 moins 4 = 12. Euh merci, on l’appelle. Ciao.
- Dave : On se rappelle, à plus tard.
- Pétère : Je viens de recevoir un coup de téléphone de Dave. Tiens, c’est le numéro de Jacques.
- Stévène : Regarde, ça c’est le numéro de Jacques. Je l’ai trouvé aux archives. Le numéro qu’il t’a filé, Dave, c’est de la connerie. Il commence vraiment à me faire chier.
        -*- Dave, Pétère et Stévène - La Classe Américaine -*-
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Je suis limite nervous breakdown.
        -*- Dino - La Classe Américaine -*-
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C'que j’arrête, c’est les pin’s, vieux. Ça me fait plus marrer.
        -*- Dino - La Classe Américaine -*-
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Vous savez que vous avez l’air pitoyable ? Parce que pour arrêter votre collection... Ça vous embête si je regarde votre pin’s ? Shera... Sheraf ? Connais pas. Parce que moi aussi je peux me vanter de ma collec’ de pin's, moi. Ça fait un moment que je l’ai, et c’est pas une collec’ de pédé ! 
Sauf que celui-là je le connais pas, Sheraf. Inconnu au bataillon.
        -*- Jacques - La Classe Américaine -*-       
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- Jacques : George, il faut que je vous parle. Je sais bien que sous prétexte que je suis gentil, les gens me prennent souvent pour un truffon. J’en prends mon parti. N’empêche, je crois qu’on a à parler. Visiblement, vous n’allez pas bien. Laissez-moi vous aider.
- George : Casse-toi, Jacques.
- Jacques : Vous refusez le dialogue ?
- George : Exactement, je veux pas qu’on parle. Je veux que tu quittes la ville. Tu as intérêt à te casser avant neuf heures.
- Jacques : George, rassurez-moi... Vous seriez pas un peu en train de me prendre pour un con, des fois ?
- George : Si, complètement, même.
        -*- Jacques et George Abitbol - La Classe Américaine -*-
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En string vous devez être bonne.
        -*- Une prostituée s'adressant à Jacques - La Classe Américaine -*-
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C’est fou que vous ayez tant de complexes.
        -*- Une prostituée s'adressant à Jacques - La Classe Américaine -*-
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- Jacques : Il est déjà neuf heures, là ?
- George : Sur mon front y'a pas marqué radio-réveil.
- Jacques : À part ça, vous avez la classe !
- George : Tu vas la voir, la classe. Putain de zen. Nardine !
        -*- Jacques et George Abitbol - La Classe Américaine -*-
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- Stévène : George s’est excusé immédiatement ?
- Jacques : Absolument.
- Stévène : Quelle classe !
- Jacques : Absolument.
        -*- Stévène et Jacques - La Classe Américaine -*-
%
- Pétère : T'aurais envie de manger quoi exactement ?
- Stévène : Ben je sais pas. Une quiche lorraine, par exemple.
- Pétère : Une ouiche
- Stévène : Quoi ?
- Pétère : On dit une « ouiche lorraine ».
- Stévène : Tu es sûr ? Ça fait bizarre « ouiche lorraine ».
        -*- Pétère et Stévène - La Classe Américaine -*-
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Oh oui je suis juif ! Et si tu veux tout savoir, j'suis même juif arabe.
        -*- Dino - La Classe Américaine -*-
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Qu’est-ce que j’apprends Frankie, espèce de malhonnête ! Il paraît que tu as des propos intolérables, où y'a pas de tolérance ? Tu sais donc pas que c’est pas bien, d’être raciste ? Que c’est mal ? On ne doit pas faire de discrimination raciale, c’est mal. Juger les gens sur leur religion, c’est mal. Sur leur couleur de peau, sur leurs origines sociales ou sur leur nationalité, c’est mal.
        -*- Jacques - La Classe Américaine -*-
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Il paraît que tu as des propos intolérables, où y'a pas de tolérance ?
        -*- Jacques - La Classe Américaine -*-        
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- Stévène : Parlez-nous du contenu de cette lettre.
- Pétère : S’il vous plaît. À moins que ce soit privé et que vous ayez des principes.
- Dino : Mais c’est privé, et j’ai des principes. Mais comme vous m’êtes sympathiques, je vais vous raconter ce qu’il y avait dans la lettre.
        -*- Pétère, Stévène et Dino - La Classe Américaine -*-
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Aime-moi tendre, aime-moi vrai.
        -*- Le putain d'énergumène - La Classe Américaine -*-
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- L'Homme du Futur : Tu peux me dire ce qu’on fait dans ce flim, Bob ?
- Bob : Oui je pourrais, mais d’abord faut sucer. Ca va, je plaisantais, détends-toi. On a rien à faire là, ça doit être une erreur dans l’enchaînement des flashbacks. Ça devrait pas trop durer.
- L'Homme du Futur : Ça m’a l’air d’un bordel...
        -*- Les hommes du Futur - La Classe Américaine -*-
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- Pétère : J’ai un de ces mals de bide, moi. C’est le hamburger, ça. J’arrive pas à le digérer. Tu avais raison, on aurait dû prendre une ouiche lorraine.
- Stévène : Moi je suis sûr qu’on dit « quiche ».
        -*- Pétère et Stévène - La Classe Américaine -*-
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- Pétère : M’emmerde pas avec tes histoires, je te dis que j’ai mal au bide, j’ai la méga chiasse, putain, la méga chiasse !
- Stévène : Excuse-moi !
- Pétère : "Excuse-moi"... Mal au bide, tu sais ce que c’est ? Faut que j’aille chier, bordel. Faut que j’aille chier, faut que j’aille chier rapidos !
        -*- Pétère et Stévène - La Classe Américaine -*-
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Maintenant tu arrêtes ! Parce que je te ferais dire que pendant qu’on parle, Pétère il a la méga chiasse. Alors un peu de dignité, s’il te plaît ! Ah, et puis je voulais te dire un truc à propos de Gorge Profonde : c’est mon indicateur ! Alors, touche à ton cul.
        -*- Stévène - La Classe Américaine -*-
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- Stévène : Patron ! Patron ! On a un problème, faut qu’on vous parle.
- Le patron du journal : Du dossier George Abitbol ?
- Stévène : Non, des chiottes. Pétère les a bouchées.
- Pétère : Ce n’est pas de ma faute, patron. J’étais malade.
- Le patron du journal : Ça doit être les burgers.
        -*- Pétère, Stévène et le patron du journal - La Classe Américaine -*-
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Tu crois que tu m’impressionnes ? Moi je sais dire « allons à la plage, monsieur renard » : « vamos a la playa, señor zorro ».
        -*- José - La Classe Américaine -*-
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À vingt-trois ans, j’ai gagné le concours du meilleur cuisinier asiatique en leur préparant un... un méchoui.
        -*- José - La Classe Américaine -*-
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- Pétère : Regarde, c’est lui, là.
- Stévène : Qui ? Le jus de tomate ?
- Pétère : Non, l’acteur !
        -*- Pétère et Stévène - La Classe Américaine -*-
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- Julien Lepers : Top ! Qui suis-je ? Je suis un animateur de France 3, je suis déguisé en noir. Mon émission passe tous les soirs à 18h35, je pose des questions à des champions, je suis ? Je suis ?
- L’acteur : Tu es... Tu es Julien Lepers, c’est ça ?
- Julien Lepers : Oui c’est ça, je suis Julien Lepers !
- L’acteur : Bien ! Sacré Julien.
- Julien Lepers : Hé ! Vous oubliez votre encyclopédie Larousse !
        -*- L'acteur et un homme noir qui parle comme Julien Lepers - La Classe Américaine -*-
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- Stévène : Dites, j’ai un trou de mémoire, vous pouvez me dire le titre de votre plus grand film ?
- Pétère : Ou nous le mimer.
- Stévène : Oui, essayez de mimer le titre de votre plus grand film, s’il vous plaît.
[Clark Gable mime "Autant en emporte le vent"]
- Pétère : Putain, il est costaud cet acteur.
        -*- Pétère, Stévène et l'acteur (Clark Gable) - La Classe Américaine -*-
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- Joël : J'ai une devinette : qu’est-ce qui a trois bras, un seul chapeau, deux chemises, une veste, un foulard, un pistolet et quatre oreilles ?
- George : Facile. C’est le cowboy de Tchernobyl !
        -*- Joël et George Abitbol - La Classe Américaine -*-
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Vive la révolution d’octobre ! Il paraît qu’on a repéré des animaux préhistoriques partouzeurs de droite dans les parages.
        -*- Le communiste - La Classe Américaine -*-
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Je déteste les animaux préhistoriques partouzeurs de droite, bordel ! C’est de la merde. Mélanger comme ça partouze et politique... C’est mieux de faire les choses dans l’ordre !
        -*- Joël - La Classe Américaine -*-
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- Pétère : Les enfants, écoutez. Je crois que j’ai le fin mot de l’histoire. Suivez bien. George Abitbol s’est fait assassiner par Yves. Le mobile : une femme, Christelle. Sexe plus histoire de cul égal meurtre.
- Stévène : Bien joué Pétère, l’enquête touche à sa fin ! On va devenir célèbres ! On va bientôt niquer, on va bientôt niquer !
- Dave : [Embrasse le téléphone] Mettez des capotes.
        -*- Pétère, Stévène et Dave - La Classe Américaine -*-
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Qu’est-ce que c’est ? Y'a des voitures dans les parkings maintenant ?
        -*- Gorge Profonde - La Classe Américaine -*-
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Je suis l’homme le plus classe du monde, bande de cons.
        -*- George Abitbol - La Classe Américaine -*-
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Vous méritez même pas que je m’énerve.
        -*- George Abitbol - La Classe Américaine -*-
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Tu te réveilles à 35 ans pour te demander ce que ça veut dire « monde de merde » ? C'est pas que t'es indiscret, c'est juste que t'es con. 
En disant « monde de merde », j'ai voulu dire que le monde allait mal. C'est un cri de révolte que j'ai lancé à mes frères opprimés. Finissons-en avec la résignation et l'indifférence. Ouvrons les yeux ! L'injustice, le nationalisme, l'exclusion, ça me débecte.
        -*- George Abitbol - La Classe Américaine -*-