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@AnnoyingTechnology
Created June 26, 2023 14:13
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... Hervé, tu peux m'offrir un café ? Ouais, en quelle heure ? Maintenant, t'es morte. Oh bah ça, c'est l'excuse la plus bidon que j'ai entendu pour se faire offrir un café, ça, dis-donc ! Je te jure, Hervé. Oh dis-donc, ça va, hein ? C'est odieux, ces méthodes ! ... Ouais, enfin bon, je te rappelle quand même que c'est au nombre de lait que je paye, alors... En souvenir de la soeur de ma mère qui me manquera plus que tout le monde, c'est long, quoi. Et à la soeur de ma mère que j'ai tant chérie, c'est pas mal, ça, non ? Ouais, mais c'est encore un peu long, ça me coutait cher et... Et on va faire plus, hein, voilà. Et bah, dis-je à la soeur de ma mère, c'est qui ? C'est ma tante, ok ? Donc, pour ma tante adorée, c'est bien, ça, ça fait combien, Nath ? Ça fait 17 ? Oui, c'est ça ! Je me jette à peu près à 6-7. Oui, bon, bah et à ma tante tout court, ça sera moins cher. Bon, dis-moi, est-ce que tu l'aimais, tatata ? Oh, je l'adorais, moi que ma mère, mais je l'adorais, ma tante. Bon, et bah, à toi. Bah, ça y est, je te l'ai dit, c'est à ma tante. Mais non, à toi, sur la couronne, tu mets à toi. Ah, quatre lettres, à toi, ah, mais c'est bien, ça, c'est super. Par contre, tu crois que je suis obligé de mettre un T majuscule ? Parce que un majuscule, c'est un peu plus cher. Ah oui, c'est plus cher, ah oui. Et si je mettais rien sur la couronne ? C'est bien, ça, c'est... Tu sais, je crois que parfois, le silence vaut mieux qu'un long discours. Enfin, c'est ce qu'on dit, je crois. Bah oui, puis si t'écris rien, elle sera plus là pour venir se plaindre. Bonjour. C'est pas tatata, quand même. C'est comme les poignées de cercueil. Pourquoi ils en mettent six ? Y a quatre porteurs, à quoi elles servent les deux autres ? Les mecs des pompes funèbres, quand ils servent la main en famille, c'est pas comme ça, c'est comme ça, cling-ling ! Comme ça. Bon, heureusement, ma tante, elle se fait incinérer. Attention, ça coûte la peau des couilles, les buons de funéraires. Non, pardon, sérieux. Par contre, je pensais à un truc. Bon, je te parle pas de faire passer les obsèques en frein professionnel. Ah non, non, ça, c'est dégueulasse. Non, bah non, non. Mais par contre, je me demandais si j'avais pas le droit à une déduction supplémentaire au niveau des impôts. Ouais, peut-être. Et les faire part à un bristol, là, tu les imprimes ici en douce. Bah oui, mais qu'est-ce qu'on s'ennuie avec les bristol ? On pourrait peut-être faire des photocopies, si c'est vrai. Si le compte, c'est l'info, quoi. Bah oui, pas le support. Bah bien sûr. Qu'est-ce que tu t'emmerdes ? Oui, c'est vrai. Non, non, non, ça, c'est hors de question que je te les prête. Allez, une journée, après, je te les rends. Allez. Non, non, non, elles sont hyper fragiles. No way. Non, mais attends, je vais à un enterrement, quoi. Je vais pas à un stage de cascade. Ah, mais je te connais, toi, avec un peu de chance, tu vas tomber dans le trou. Non, mais tu parles de... De ma tante qui est morte. Ouais, non. Euh, 40 balles. Quoi ? Bah oui, je te les loue 40 balles pour la journée. Et la demi-journée, tu fais ? Non, je fais pas la demi-journée. J'essaye un peu de la piquer mes lunettes, ce reculé ! C'est terrible. Tu utilises toujours le vase bleu, là, sur ton bureau ? Ah, celui avec les jetons ? Oui, je me disais que, bon, bah, si t'y tenais pas, je pourrais toujours m'en servir pour les cendres. Euh, il est pas très grand, tu sais. Oh, mais c'est pas grave, je tasserais. Ou je mettrais pas tout. C'est ma femme, tu sais ce qu'elle me dit, ma femme ? Euh, j'en ai marre, je te vois pas assez, si ça continue, je te quitte. Et alors ? Bah, et alors ? Et alors, si elle me quitte, elle me verra encore moins ? Logique. Oh, hervé ! C'est moi ! Oh, mon ami. Je suis là, mon ami. Je suis là, mon ami. C'est moi ! Oh, mon ami. Oula, t'as besoin d'un service, toi. Mon frère. Un très gros service. Écoute, écoute, écoute, j'ai besoin de trouver une excuse en béton pour pouvoir m'absenter deux heures cet après-midi. Bah, si c'est juste deux heures, t'as qu'à dire que t'étais au shot avec un bouquin, ça passe, hein. Non, non, non, déconne pas, là ! Oh, il s'agit du salon du Caravanning, hein ! J'en ai pas manqué en 10 ans ! Bon, bah, laisse-moi réfléchir, euh... Tiens, Numérix. Ouais. Tu sais, ils ont leur bureau juste à côté de la foireuse exposition. Exact. Tu sais, je suis là, je suis là. Je suis là, je suis là. Je suis là, je suis là. Je suis là, je suis là. Je suis là, je suis là. Je suis là, je suis là. Je suis là, je suis là. Je suis là, je suis là. Je suis là, je suis là. Je suis là, je suis là. Je suis là, je suis là. Je suis là, je suis là. Je suis là, je suis là. Je suis là, je suis là. Hé, Hervé, comment ? Du bon. Du bon ? Du bon, Hervé ! Tiens. C'est bon, c'est bon. Ah, Jean-Claude, vous allez bien à votre famille aussi ? Très bien, je vous remercie, Carole. Quand est-ce que j'ai regardé le registre de vos absences et je trouve qu'on meurt beaucoup dans votre famille ? Surtout au moment des salons. Alors comme là, on est en pleine période de salon, forcément, je m'inquiète. Vous n'avez pas de décès prévu, j'espère ? Non, tout va bien, Carole. Ah, pardonnez-moi. Qu'on v'intend à la pari, j'écoute ? Oui, c'est le site Numérix, oui ? Je suis désolé, écoutez, là, je peux pas, je suis coincé. Ah, on me fait signe que oui, finalement, je peux passer. Alors à tout de suite. Les clients d'abord, hein ? C14A ou B ? Ah bah, je me souviens plus qu'on leur a rendu 10. Bah rappelez enfin, Jean-Claude ! Oui, mais je vais faire ça depuis mon bureau. Enfin, écoutez, vous vous manquez de sens pratique. C'est facile, vous faites dernier rappel reçu, rappelez, et voilà. C'est votre ami Hervé qui vous demande si vous l'avez mis profond à l'autre grognasse. Qu'est-ce que je lui réponds, Jean-Claude ? Qu'on va avoir des soucis. Entièrement d'accord, Jean-Claude. Que vous absentiez ce de faux prétexte, c'est déjà beaucoup, Jean-Claude. Mais que vous imméliez vos collègues, c'est inadmissible. Ça ne se passera pas comme ça. Attention. Taisez-vous ! Le fait que vous soyez premier vendeur de la boîte ne peut pas vous sauver éternellement. Jean-Claude, est-ce que ta femme n'arrive pas à te vendre sur ton portail ? Est-ce que c'est toujours occupé ? Il y a un début d'incendie chez toi dans le camping car il faut que je rentre à l'eau plus vite. Alors c'est magnifique. Il avait prévu un plan de rechange, le plan B. C'est quoi le plan B ? Taisez-vous, Jean-Claude ! Si vous vous absentez une minute aujourd'hui, vous êtes viré direct. Est-ce que c'est bien clair ? Mais d'étrangement. Non ! Ça sent le brûlé pourtant. Mais dis donc, c'est pas trop tôt, hein ? Écoute-moi ! Je ne peux pas passer, je suis coincé. Alors tu files au fond de l'atelier. Sous les cannes automatiques des gosses, il y a un extracteur. Tu n'as pas les clés. Mais écoute, tu sais très bien pourquoi je te donne pas les clés, hein ? Tu vas pas me faire chier avec ça, hein ? Quoi, ça brûle chez le voisin ? Le cerisier ? Mais j'aimerais la foudre de son cerisier ! Ouais, me fous de la chiasse, ces cerisiers, si tu veux savoir ! Alors écoute-moi, Monique ! Non, Véronique, pardon. Non, mais non, je te trompe pas, putain ! Bonjour. Je vous reconnais, vous. Trayez en bas chez Morlox, c'est ça ? Vous faites un si bon café que de temps en temps, je me permets de faire un petit détour. Eh ben dis donc, qu'est-ce qu'on doit vous servir chez vous de l'huile de vidange ? Marquer le café, ça fait carburé, hein ? Vidange, carburé. Jean-Claude Conventant, premier vendeur, mais aussi premier déconneur à la boîte, hein ? Je vois ça, ouais. C'est un peu pour ça que je passe aussi, pour l'ambiance. Eh oui, eh oui, MBS ! Je me réveille Deux heures de morale, gentille, sacre. Quoi ? Bonjour. Encore vous, on se quitte plus. Je partais, là. Salut, Fred. Ah, mais c'est vrai, vous ne vous connaissez pas. Alors, c'est Nicolas qui travaille en dessous chez Morlox et que je croise sans ça, ce jour-ci. Oui, c'est bizarre, c'est marrant. Bon, il faut pas de pièce pour les toilettes ? Euh... C'est qui ? C'est un grand timide qui arrête pas de me tourner autour. Franchement, comment tu le trouves ? Nickel, méga top, la bombe, c'est bien simple, je suis trempée. Nicolas Garton, marié, trois enfants, bon père, bon mari, le prix de vertulame parfait. Ça fait des mois que je suis sur le cou, il a saïm ! Attends, je suis désolée, mais j'ai pas eu l'impression qu'il a encroqué spécialement pour toi. Mais tais-toi, petite dinde ! Ça fait trois jours qu'il tourne ici, il est chaud brûlant. D'ailleurs, tu vas nous laisser parce que je vais conclure. Négatif, je prends une option, et moi aussi, Marlucée. Mon pauvre fille, attends, lui, c'est un homme à femme, tu vois ? Femme ! Alors avec ta tronche de guérisson défoncée, excuse-moi, mais c'est même pas la peine d'espérer. Toi, t'es qui ? Le coup du siècle ? Avec tes trois lardons en batterie ? Dis-moi, ça déforme pas un peu, les gosses ? Mais je t'emmerde comme neuf ! Alors, comme ça, vous travaillez chez Dreadlocks ? C'est génial ! Je vous offre un petit café ? Non, merci, ça va, j'en bois beaucoup en ce moment. Je te fais ce que tu veux, je te fasses un chocolat. Non, ça va. J'aime bien venir chez vous, ça me détend. Vous êtes le bienvenu ! Et d'ailleurs, si vous ne connaissez pas la maison, je vous fais visiter. Je ne veux pas vous déranger. Salut les filles, la forme ? Bonjour Philippe. Toi, ta gueule ! Alors, quoi de neuf ? T'es hâte, c'est les mains expo, faites des trucs en ce moment ? Oui, beaucoup ! Vous l'avez raté, c'est avoir absolument les filles. Je peux te parler pour la disquette, s'il te plait ? La disquette ? Quelle disquette ? Mais c'est quoi ce prétexte de merde ? T'as honte, hein ? Ta femme est cachée derrière la photocopieuse, peut-être ? Tu prends comme ça ? Tu veux que je dise devant tout le monde, c'est ça ? Eh ben, je t'aime, Philippe. Oui, je t'aime. Bah oui, j'aime, Philippe. Je t'aime, Philippe, tu comprends ça ? Mais t'entends ce que je te dis ? Je t'aime ! Quoi ? Oh là là là ! Enfin, faut pas que ça continue, là, ça va pas tarder à me chauffer, ça. Oh là là, mais comme ça pédé, non, ça me dégoûte, moi. Oh là là, c'est bon, là, je suis excitée, là. J'adorerais faire la tranche de jambon entre les deux tartines. Wouah ! Enlève ta main ou t'as la mienne dans ta gueule ! On ne tournera pas à baiser autre chose, là ? Wouhou ! Alors, Jean-Claude, ça va être pas belle, la vie ? Ouais, j'ai pas la grande forme en ce moment. Bon, allez, tu vas pas nous la faire valétudinaire, non ? Dis donc ! Qu'est-ce que vous avez dit comme mot juste avant que j'ai pas compris ? J'ai rien dit, j'ai juste dit valétudinaire. Oh, oui, c'est ça, pardon. J'avais mal compris, ouais, ouais, ouais, valétudinaire. Excusez-moi, Sergent. Non, non, mais c'est pas grave, Jean-Claude. Y a pas de mal, là, mais fais attention. Je te trouve un peu vif en ce moment. Ouais. Passe me voir à l'occasion, hein ? Valet... Valet... Valetudinaire, je... Faut que je lis, moi, hein, faut que je lis, hein. Maïva, tu connais ma passion pour les mots croisés, je... Oh, bon, je savais pas, Jean-Claude, moi, je suis plutôt horrible. Ouais, ouais, et donc je fabrique mon homme maigri. Et là, j'ai du mal à trouver une bonne définition sur un mot. C'est quoi, ton mot ? Ouais, c'est tout simple, c'est valétudinaire. Valétudinaire ? Valétudinaire. En treize lettres, Marguerite Gauthier l'était. Marguerite Gauthier, excuse-moi, ma... Enfin, Jean-Claude, Marguerite Gauthier, la dame au camélia. Mais oui, qui les con, la fleurisse d'en bas. Oh, non, Jean-Claude, la pièce d'Alexandre de Gaulle, la dame au camélia. La dame au camélia, Marguerite Gauthier, me la fait aux pattes. La dame au camélia, Marguerite Gauthier, me la fait aux pattes. La dame au camélia, Marguerite Gauthier, me la fait aux pattes. La dame au camélia, Marguerite Gauthier, me la fait aux pattes. La dame au camélia, Marguerite Gauthier, me la fait aux pattes. La dame au camélia, Marguerite Gauthier, me la fait aux pattes. La dame au camélia, Marguerite Gauthier, me la fait aux pattes. La dame au camélia, Marguerite Gauthier, me la fait aux pattes. La dame au camélia, Marguerite Gauthier, me la fait aux pattes. La dame au camélia, Marguerite Gauthier, me la fait aux pattes. Mais si, mais si je te dis que tu vas mettre ce putain de mot dans ton devoir de français, Jason ! Ça va te rapporter des points ! Mais comment ça tu sais pas ce que ça veut dire valétudinaire à 12 ans ? Mais t'es un vrai fils d'abruti ! Écoute, explique-lui parce que moi je... valétudinaire. Oui, oui salut Jason. Bon alors, tu veux savoir ce que veut dire valétudinaire, c'est ça ? Bon, alors comment dire, voyons, c'est un peu comme... égrottant, tout à fait. Voilà, t'as trouvé, tout à fait égrottant. C'est un très bon synonyme, très bien. Je te repasse ton père. Oui, oui bah tu ranges ta chambre avant ce soir. Ah il a oublié d'être bête ton fils. Oh bah les chats font pas du chien. Tiens, tu fais des aposphèques moi maintenant. Bonne journée. Bon alors ça, bonne journée, ça je l'ai. Mais alors, ma meuf-mègue et... et... et l'autre là, elle est là. Je vais aller faire un petit tour aux Antillas, ça va me... ça va me détendre. Oui. Alors, bah Eva, je t'assure, tu devrais surfer sur internet. On peut vraiment trouver des superbes occasions. Regarde, ma caméra, c'est là que je l'ai acheté ? Ouais, mais je sais qu'il y a des gens qui vendent des trottinettes d'origine louche. C'est sûr que ça arrive, mais enfin toi qui cherches un appartement par exemple, et bah tu devrais aller sur un site de petites annonces et je suis sur le site de petites annonces. Et puis, tu vas voir, c'est pas un truc de... Enfin, toi qui cherches un appartement par exemple, et bah tu devrais aller sur un site de petites annonces et je suis sûr que tu feras une bonne affaire sur internet. Sur internet ? Mais mais t'es zinzin ! J'aurais trop peur que ce soit un appartement volé ! Vas-y, t'en rends-toi. Attends, je vais prendre un mort là. Soulève la cravate. C'est bon ! On a pas vu ma galle ! Non ! À moi ! Vas-y, vas-y ! T'es attention que le petit oiseau va sortir. Ouais, elle est de l'aigle ! Royal, tu veux dire ! Allez, zoome bien sur la bête ! Ouais. Tu l'as le steak là ? Ah bah oui, ouais. Oh mais comme il me va, quel âge ! Pauvre Maëva, c'est dégueulasse. Elle a la gueule qu'elle va faire quand elle va aller développer les photos. Bonjour ! C'est peut-être parce que c'est... Bonsoir, Loé, il est là ! Bah il faut pas laisser traîner ton appareil comme ça, Maëva ! Mais pas moi, la carole ! Elle me l'a confiée pour que je le montre là-haut, à la direction ! Il fallait surtout pas que je le perde ! Dedans, il y a toutes les photos de la mise de médaille au président ! Et il y tient ! Fais ce que tu veux ! Moi j'ai un abonnement, alors tu me donnes la pellicule ce soir... Et demain matin, je te la rapporte tirer, développée, sur papier brillant, avec réduction ! Réduction ! Ça c'est bien pour la direction réduction, ils vont s'en souvenir ! Hein ? Tu crois ? Bah j'en suis sûr, c'est comme ça qu'on progresse dans une boîte, Maëva ! En prenant ce genre d'initiative, tu vas marquer des points ! Bah ouais mais en même temps, si il y a le moindre problème, c'est pour ma pape ! Mais quel problème ? Eh ben je sais pas, moi j'en faut que je puisse être écrasée par un camion et abîmer la pique ! Mais c'est n'importe quoi ! T'es têtue comme une mule, Maëva ! Puisqu'on te dit qu'on peut te faire des économies ! Ne me stresse pas, je dois aller aux toilettes ! Ne me stresse pas, je vais te faire des toilettes ! Je m'en fous que tu ailles aux toilettes ! On est dans la merde là ! Mais non, c'est bon ! Ah bon, c'est bon ? Oui, ça y est, j'ai réfléchi ! Qu'est-ce que tu veux qu'ils fassent comme rapprochement entre ça là ? Et ça là-haut à la direction ! Ils vont voir un S écadré serré ! Peut-être ta cravate à la limite et encore ! J'ai la brûle les soirs, il y en a plus jamais ! Eh ben moi pareil ! Et puis, tu as touché toi cet appareil ? Oh oh ! Alors ? Mais attends, on ne m'a pas par contre, il y a ses mains partout ! Tu sais que... on la tient ! Maëva, fais voir ! C'est un truc de pire ! C'est pas un mot ! Eh les gars, le petit oiseau va sortir ! C'est quoi ça ? Arrête de jouer avec ça sur le portail ! La direction alors ! Oh mais enfin, Maëva ! Mec ! Pardon ! Tu l'as pris la photo là ? Elle est superbe ! Attends, avec vos petites tenues, vos petites cravates, c'est tout de bon ! On la voit ma cravate ? Ah bah tu parles là de surtout la tienne, elle est affreuse ! Ah ouais, elle est affreuse ma cravate ! Ah ouais ! Je vais les étranger ! Arrête ! Alors ? Bah quoi alors ? Ils vont te faire des calendriers, ils ont adoré ! C'est pas vrai ! Mais non, c'est pas vrai ! On va se faire tuer Jean-Guy et Furieux ! Oh non, c'est con ! Des calendriers, on aurait pu se faire dubler et puis... Moi j'aurais bien vu l'outil au mois de février, tu vois ! Pourquoi février ? Bah parce que je signe toujours entre 27 et 28, ça dépend des saisons ! Moi je crains les frimes à l'hiver, je préférerais le mois d'août la double page ! Mais il part, on va se faire tuer ! Non, il part ! Blah, blah, blah, blah ! J'entends ! Bah qu'est-ce qu'il y a Maëva ? On t'a encore refusé la publication de tes poèmes ? Ouais mais ça c'est normal, la peste bubonique, les loups, le froid... Propos ça à Milan Farmer, ça pourrait peut-être l'intéresser ! Mais non, c'est pas ça ! J'ai crévé les loges funèbres d'Antisthenes, tu sais mon chat ? Oh, il est mort ! Je suis désolé Maëva ! Non, la fourcheuse n'a pas encore achevé son œuvre ! Une fourcheuse ? Mais attends, c'est comme tu y vas, il y a peut-être d'autres moyens plus humains pour se débarrasser d'un chat ! Pourquoi tu essayes pas le sac en plastique que tu fais tournoyer et claque contre le mur ? Je veux dire que malgré une alimentation contrôlée, il a perdu ses 5 à tout vitalité ! Comme dans la pub ? Oui ! Il n'a plus de bonnes dents, il n'a plus l'œil vif, il n'a plus le poil brillant, il n'est plus joueur et... Il a pu la gaulle le matin ! Mais oui, ça aussi, il a perdu ta raison, tu vois c'est la fin ! Attends, tu veux dire que le matin ton chat il avait le tendu ? Bah évidemment, c'est un mâle ! Mais il a perdu la gorge ! Attends, tu veux dire que le matin ton chat il avait le tendu ? Bah évidemment, c'est un mâle ! Il exprime son contentement aux jour naissant, comme tous les mâles ! Non ? Non Jean-Claude ? Oui, oui, mais va bien sûr ! Moi aussi je suis content le matin quand je me lève ! Ma femme d'ailleurs se plaint ! Parce que quand je me lève, j'entraîne tous les draps, les couvertures ! Ma femme a froid le matin ! Eh ouais, c'est ça un mâle ! Alors qui dit chat pas content, dit chat mourant ! Tu dis pas ça Jean-Claude ! Oui bah écoute ! Putain, j'ai d'autres soucis quoi ! Bonjour ! Allez Jean-Claude, la forme ? Bah bien sûr que je suis en forme ! Qu'est-ce qu'il y a ? J'ai pas l'air en forme ! J'ai terminé de bonne humeur toi ce matin, ça fait peur ! Écoute-moi bien monsieur le trou du cul ! Je suis très content le matin, d'accord ? Et ma femme a froid, alors essaye d'en faire autant ! Dis donc comment tu me parles Jean-Claude, ça va pas ? Tu veux que je te pète la gueule ? Alors ? Excuse-moi Yervé ! Qu'est-ce qu'il y a ? Parlons-en ! Mais je vais mourir Yervé ! Ah bon ? Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? Mais j'ai perdu mes 5 atouts vitalités ! Qu'est-ce que c'est que cette connerie de... Mais regarde là ! J'ai fait de bas dedans ! Hein ? J'ai pu la vif ! J'ai pu le poil soyeux ! Et puis je suis moins joueur qu'avant ! Enfin t'es... De toute façon tu m'en as dit 4 là ! C'est quoi le 5ème atout vitalité ? Bah je suis plus content le matin voilà ! Mais moi non plus je suis pas content le matin ! Tu crois que ça me fait plaisir de venir travailler dans cette boîte de merde ? Enfin Jean-Claude réfléchis ! Mais non ! Mais tu comprends pas que... Je branle plus Yervé ! Jean-Claude ? Hé hé ! Qu'est-ce qu'il y a ? Eh bien voilà on a toutes tes signatures, les 502, j'ai demandé à toute la boîte bien entendu, tout le monde a signé, l'immeuble aussi j'ai reçu des faxes, des mails et même un vieux pneumatique figure-toi ! C'est quoi ces signatures ? C'est pour qu'est-ce qu'il y a ? Eh bien 502 signatures pour tes prochaines érections Jean-Claude ! Oui on s'en souviendra celle-là hein ! Oh la caisse ! T'as de la chance parce que moi je me souviens mais de rien du tout ! Enfin tu te souviens quand t'as dansé à poil quand même ! Je veux pas faire ça ! Mais si t'as fait ça ! Devant la fin de la présidence, sous son nez, avec ton truc là comme ça ! Tu en étais mort de rire tous ! Oh non ! Putain t'es trop con Jean-Claude ! T'es trop con ! Non non c'était drôle je te jure ! Elle a ri je te dis ! Elle a ri ! Ça va Supercopter ? On a atterri ? Oh Nancy je suis désolé ! En fait je supporte pas les mélanges ! J'aurais jamais dû associer cette petite vitamine C avec ce verre de vin blanc ! Je me suis autorisé pendant le pause ! Je regrette quoi ! Je n'étais pas mon homme ! C'est ça Jean-Claude ! C'est ça la vitamine ! C'est vert ! Oui c'est fort ! Enfin bref en ce qui concerne ce que je vous ai demandé hier soir, j'espère que c'est fait parce que c'est vraiment très important ! Bien sûr que c'est fait Nancy ! Mais alors plutôt deux fois qu'une ! Parfait ! Je suis l'homme d'une parole moi ! Merci ! A plus ! Oh putain ! Hervé ! Hervé ! Hervé ! Tu te souviens pas de ce qu'elle m'a dit Nancy hier ? Elle m'a demandé un truc précis j'ai oublié ! Bah comme on veut dire que je sache moi j'étais busy toute la soirée ! Check my body avec... Mais arrête de faire ça ! Le con là oui je sais mais tu te souviens pas d'un truc qu'elle m'aurait dit ? Un truc important ! Écoute je t'aurais bien aidé si t'avais pas essayé de rallier Fred sous mon nez à plusieurs reprises dans la soirée si t'avais pas évoqué mon rendez-vous chez l'hérologue ! Oh j'ai pas fait ça ! Là peut-être là si tu l'as fait plusieurs fois ! C'est pas vrai ! T'es trop con ! T'es trop con putain ! T'es trop correct ! Ça va pas faire mal ? Non non non Jean-Claude ! On va faire un saut dans le temps ok ? D'accord ? C'est pas vraiment de l'hypno c'est plutôt de l'autosuggestion ! D'accord ? Donc on va revivre, tu vas revivre ce qui s'est passé hier soir ! Oui mais moi ce qui m'intéresse c'est juste le petit passage avec Nancy parce que le reste bon c'est pas... Je vais faire une impasse sur le moment de... Ouais mais c'est pas de ma faute je supporte pas la vita mincé ! Bien sûr bien sûr bien sûr ! Mais je veux que tu me dises quelque chose ! Ouais mais c'est pas de ma faute je supporte pas la vita mincé ! Bien sûr bien sûr bien sûr ! Jean-Claude et confiance ! Allez on ferme les yeux, tu respires... Attention nous ne sommes plus aujourd'hui ! Nous sommes hier soir, il est 22h, qu'est-ce que tu fais ? 22h oui ! Ah la tienne est tienne ! Ok c'est bien c'est bien ! On ferme les yeux, on respire, il est 22h15, qu'est-ce que tu fais ? Cussé que Sylvain pas cap ! Ok Jean-Claude, non c'est bien c'est bien ! Tu oses c'est certain ! On va continuer maintenant, attention il est 22h30 ! Qu'est-ce que tu fais Jean-Claude ? Encore un petit coup Sylvain ! Encore un petit coup ! Ok Jean-Claude on va essayer de se rapprocher de l'instant T L'instant où Nancy arrive ok ? Tu la vois Nancy attention ! Ouh ferme les yeux, respire ! Elle arrive, elle est là devant toi, qu'est-ce que tu fais ? C'est moi qui lui parle ! Oui ! Encore un petit coup Nancy ! Elle me dit non, non Jean-Claude ça suffit maintenant ! Il faut que je vous parle de quelque chose... Oui oui ! Travaille là-dessus ! Oui ça va ! Oui c'est là ! Allez ! Tu quelque chose t'as... Ok Jean-Claude il est minuit 15 ! Qu'est-ce qu'elle t'a dit ? Minuit 15 allez hop ! Oui ! Oui ! Oui ! Non non Jean-Claude avance ça ! Oh ça ! Ah ! Rien à faire le trou noir je... Tiens ! Monsieur Lebrun vous attend à l'accueil, Monsieur Lebrun à l'accueil pendant le si ! Tu chargais moins la mule aussi et puis ça te fera les pieds tiens ! T'as été audio hier ! Oh je l'ai putain ça y est ! C'est pas vrai mais c'est pas vrai c'est ça ! Monsieur Lebrun voilà ce qu'elle voulait me dire hier Nancy ! Toi tu danses toujours avec Fred hier ! Oui ! Move your body ! Eh oui ! Eh oui ! T'as juste pas l'air que jamais ! Bien sûr ! Et elle m'a dit allez voir Hervé, dites click la réunion avec Monsieur Lebrun et maintenu et qu'il prépare le dossier ! Voilà ce qu'elle m'a dit hier, il est 11h et aujourd'hui c'est... Et ça y est ! Et toi ? Hervé ! Quoi ? N'oubliez pas le dossier ! Il est con Jean-Claude ! Quoi ? Bah Hervé ! Allez ! Move your body ! Move your body ! Le dossier hein ! Mais pourquoi Fred ? Eh pour l'olé ! Pas de problème, rendez-vous avec Monsieur Lebrun ! Ouais ! Quel dossier ? Quel dossier ? Le dossier ! Oh la vache ! Oh tu sais qu'à pourri les toilettes comme ça, mais c'est une infection hein ! Alors ça c'est au moins du Jean-Claude ! Oh mais non Jean-Claude, c'est pas possible, qu'est-ce que je dis là ? Il est pas là depuis une semaine ! N'y allez pas hein ! Ah non non, j'y vais pas non ! Vous avez pas vu qui c'était ? Non non, j'y vais pas non ! Mais vous avez pas perdu vide ? Non on a l'habitude nous ! Et qu'est-ce qu'est le plus éprouvant ? Faire une face nord ou nettoyer les carousels des façades des immeubles ? Ça dépend, l'important c'est d'être en forme, faut savoir grimper ! Ah oui la forme ! Et apparemment, condition physique... Je me débrouille ! Parle de moi là, comme il y a Jean-Claude ! Non pas là non ! Bonjour ! Allez on parle de lui ! Pardon ! Pardon ! Ça y est je te remets, c'est toi le mec qui joue à Spiderman sur la façade de nos immeubles, qui la blé vitre avec la raclette kick-win ! C'est classe, c'est bien ! Ouais c'est bien ! Toi t'es pas le type qui passe tes journées une main dans le futal et l'autre dans le nez, dans le petit bureau de la façade est ? Ouais ouais c'est lui ouais ! Ouais le petit bureau faut le voir ! Dis donc, sinon c'est quoi ton matos là, vieux ? Titan 102, c'est moi qui le fais ! Je connais pas, parce que je suis très doué en matos, mais je me sens bien, je me sens bien ! Toi t'as fait de l'escalade toi ? Ouais ouais, l'U.C.P.A ouais ! J'ai attaqué la dent du guignol dans le massif de Marcassin, deux heures à main nue ! Ouais ouais ! Ah c'était du sport hein, c'est autre chose mais bon ! Ouais mais enfin je le vois mal faire la façade d'immeuble à main nue ! Ouais ! Avec la raclette entre les dents c'est... C'est une question de mental ça Nancy ! C'est le mental hein ! Je peux te faire faire un stage si tu veux ! Ouais ! Ce sera pas l'U.C.P.A mais bon pour toi ça sera bien quand même ! Non mais laissez tomber il est jaloux ! Par contre, il faut que je fasse un petit peu de sport ! Ouais ! Je vous réserve une petite surprise ! Ok ! On vous la met tout à l'heure ! Allez ! C'est une coquine hein ! Cochonne ! Et donc c'était quoi ta dent guignol là ? Non la dent du guignol c'est dans le massif de Marcassin, c'est dans le Jura ! Déjà ? Qu'est-ce qui se passe Nancy ? Dites-moi, dites-moi ! C'est le laveur de carreau ! Oui, et ben... Il était en train de faire un déjeuner ! C'est pas le déjeuner ! C'est le déjeuner ! C'est le déjeuner ! C'est le déjeuner ! C'est le déjeuner ! Oh ! Déjà ? Qu'est-ce qui se passe Nancy ? Dites-moi, dites-moi ! C'est le laveur de carreau ! Oui, et ben... Il était en train de descendre en rappel devant mon bureau ! Oui ! Et puis tout d'un coup... Il est tombé comme une pierre ! Oh quelle horreur mes dieux ! Oh oui ! Et on a des nouvelles on sait ! Oh ! Il a pas de guillaume ! Oh ! Tenez-moi au courant hein ! En même temps ça prouve que c'était pas un grand professeur parce que à lui c'est pas un éduc tout le temps ! Direction de la police ! Allez ! Un petit café ! Bravo, Julien ! Ah ben il est sorti de notre ami alpiniste ! Oh ben oui le pauvre ! Il a 3 mois de rééducation ! On est venu chercher ses petites affaires ! Ouais, quand même ! Ça va espérer ! On va le voir ! Ah ben oui ! Et puis il a un peu trop de mal à faire ! Les malades, c'est pas ça ? Non ! Et puis la pomme de la pomme ? Elle a pas un peu de mal à faire ! Je pense qu'elle a trop de mal à faire ! Ben oui ! Mais elle a un peu trop de mal à faire ! Mais elle a un peu trop de mal à faire ! Mais elle a un peu trop de mal à faire ! Ah ben oui ! Oui, le pauvre a 3 mois de rééducation. On a vécu ses affaires. Ça va, Spider-Man ? Il faut toujours vérifier son matos. C'est ça, le secret. Je sais que c'est toi. Je peux pas te laisser dire ça. Allez, on y va. Super dû ! C'est pas vrai, on a crevé un pneu. Toujours ce problème de matériel. Je te dis que c'est lui. Ha ha ha ! Vas-y, hein ? J'aimerais bien travailler sur une plateforme pétrolière un jour. T'es singlé, une plateforme pétrolière ? Mais c'est siniste, t'es isolé du monde, au sol et au milieu de la mer, tu vois pas ta femme et tes gosses pendant 6 mois, c'est... Justement ! À droite. Ils m'ont doublé mes objectifs devant tes maladies. Faut que je dépasse. Ils sont à la masse, les huiles. Pourquoi t'as dit oui ? Parce que ça m'excite, les challenges, j'adore ça. Tu comprends pas que tu cours à ta mort, à l'infarctus assuré, à cause de mecs qui ont 15 mots à la bouche, performance, performance, c'est le nouveau truc. Et moi, si j'ai envie de mouiller ma chemise pour le bien de la boîte, et j'irai même plus, pour le bien de la Maison France. Arrête, arrête. Je te connais, t'es un faux cul, tu marches à la 40. Je te promets, là-haut. Voilà, c'est ça, le mot est lâché. Du coup, je vais pouvoir élargir mon terrain de chasse. Il va falloir que je m'habitue au jet lag, au fuseau horaire. Je vais voyager en business classes. Le petit plateau repas, la bouteille de Bordeaux, la main au cul de l'hôtesse, la classe. Et puis s'il y a un truc qui déconne chez l'hôtesse, une bordale dans la gueule, comme les Rockstars. Yeah ! Tu as la classe. Alors, le petit Francais oui ? On boit son petit café, Tristoune ? Hein ? Quand je pense que dans moins de 6 heures, je serai en train de ciroter un petit ponche coco, les pieds dans la piscine. Tu sais, la Martinique, c'est pendant plus la panacée. C'est un pays de terre pelée, très miséreux. Je vais m'entendre dire que les autochtones, là-bas, ils aiment pas trop les métros. Alors, qu'est-ce que veux-tu faire chier dans le métro, ou un face de cul ? Je ferai un taxi, taxi brousse. Ouais, c'est pas mal. Jean-Claude, vous avez préparé votre valise ? Ah ouais, moi je voyage léger. J'ai pris une petite brosse à dents, puis pour la crème solaire, je vais y aller sur place. Il y a un petit contre-temps. Toutes les compagnies aériennes sont en grève. Blackout complet. Ah, mais ça va s'arranger. Tu partiras la semaine prochaine. Vas-y, Franck, c'est bon. Vas-y, Jean-Claude, c'est bon, bon, bon. C'est bien, c'est le folklore du point. Tu vas adorer. Vous avez l'air déçus, mon petit Jean-Claude. Je vais pas vous laisser mariner trop longtemps. J'ai chargé ma Eva de trouver un billet de train pour Bruxelles. De là, vous prendrez l'avion. J'y vais avec un vaisseau bon. J'y vais avec un vaisseau bon, bon, bon. J'y vais avec un vaisseau bon. Jean-Guy, pour le billet de train, ça va pas être possible. Les chemins de phare sont en grève. Blackout complet. Tu restes au bureau comme le doigt Nier-Rousseau. Je crois que c'est moche, que c'est dommage. C'est pas grave, tout de façon, moi j'ai filé à Bruxelles avec ma ex-antia. Je vais vous donner l'autorisation et là je vais faire mon vol. Diggadi, diggadi, diggadi, j'y vais. Vous avez pas entendu dans le poste? Parce que les routiers ont bloqué tous les péages. Blackout complet. Tu tapes sur le bambou et ça te fait du bien. Tu tapes sur le bambou et ça te fait du bien. Tu tapes sur le bambou et ça te fait du bien. Tu tapes sur le bambou et ça te fait du bien. Reveille, reveille. Ce n'est pas terminé, ce Jean-Claude. Je vais intriguer pour ce que les têtes de Nice pour le Luxembourg. Pour le Luxembourg. Il y a du pont, il y a de la bière. Chaud, chaud, chaud, c'est l'Hymène. Pas de nuit, à Saint-Mathieu. Je vais lui péter la gueule. Je vais lui faire bouffer sa compil' moi, les enfants. La Biélorussie. Non, non, pas la Biélorussie, j'aime pas le traîneau. Coiffure nickel. Cravate pure soie. Nickel de chez nickel. Costard chemise impeccable. Tu vas les déchirer aujourd'hui mon petit G.C. C'est le jour du chasseur. All right, moonwalk. De la gym, that's my... Merde ! Coucou, ça va Nancy ? Oula, petite mine ce matin. Comment c'est pas Jean-Claude ? J'ai rien dit là. Eh ben continuez comme ça, ça vous va très bien. Eh dis-moi, qu'est-ce qu'elle a, la Nancy ? Elle est toute raide. Je crois qu'elle est encore bouleversée par la paire de son chien, Willy. Tu sais, vendredi elle l'a perdue en forêt. Bah écoute, moi je vais bien le remplacer. J'ai remis super bien de la queue quand je suis content. Ça c'est bien les mecs ça. On vous dit qu'une fille est triste et vous, tout ce que vous pensez, c'est d'essayer de vous placer. Ça fait 10 ans qu'elle lave son chien. Je crois que c'est des bêtises qui vont la consoler. La consoler ? Bah voilà un boulot pour Super J.C. Sauvez Willy pour niquer Nancy. Eh, Herve ! À gauche. Oui mais Herve, ça fait 2 heures que t'es la SPA. Alors si tu ramènes le Clebs et puis qu'elle est partie, ça sert plus à rien. Ouais, ok. Ça y est, on l'a retrouvée. Si avec ça je la nique pas, la Nancy, je suis vraiment un toqueur. Jean-Claude. Oui ? Excusez-moi pour mon changement d'humeur de ce matin. Oh, mais je suis vraiment désolé. Je n'ai pas beaucoup dormi. Je suis fatiguée. Je sais, je sais. Et si par bonne heure, quelqu'un retrouvait Willy, ça serait ? Ah bah ce serait une bonne nouvelle, je vous remercierai, c'est sûr. Ah bah j'y compte bien. En même temps, Jean-Claude, faut bien l'admettre. C'est comme un soulagement de plus avoir ce chien. Ah bon ? Bah oui. Attendez, mais vous savez ce que c'est, vous, d'avoir un chien à la maison ? Non. Eh bah c'est rentrer tous les soirs, le nourrir, le sortir. Enfin c'est comme un petit enfant. C'est joli. Un enfant ? Ah bah non, moi je dirais plutôt comme un mari jaloux. Ah oui ? Ah mais je m'étais renfermée sur moi-même. Je ne pouvais même plus inviter du monde chez moi. Non, depuis quelques jours, je me sens libre. Libre comme si j'avais quitté un homme possessif. Libre de mes rendez-vous, de mes week-ends, de mes soirées. Non, c'est une Nancy plus... plus aventureuse. Voilà, c'est ça. Oui, mais enfin quand même. Alors qu'est-ce qu'on va faire avec ce... C'est le petit Willy, le petit... Putain de clé bar à la con, merde ! Excuse-moi, j'y serre, il ne lâche pas les chiens comme ça à la fourrière. Il a fallu le corps romper, c'est un tas de paprasses. Alors il est où ? Il est dans l'exentière, dans le parking. Tiens, ça c'est pour ton essence. Je sais, c'était prévu. Je te préparerai un petit café. Tu me raconteras, hein. Oui, oui, oui, je vais voir. Et dis donc, hein. Oui, mon petit Pepe, on va s'occuper de toi, oui. Allo, les laboratoires Cospitex ? Oui, voilà, j'ai un vieux chien qui est un peu fatigué, oui. Et oui, voilà, je voudrais m'en... enfin, m'en débarrasser, mais s'il pouvait servir pour des expériences sur les médicaments, pour aider les gens, voilà. Très bien. Et sinon, est-ce qu'il faut vous les plucher parce que je suis très... Non, c'est pas la peine. Il y a une petite prime, on m'a dit. Ah, quand même. Et sinon, vous êtes ouvert tard ? Ah, ah, ah ! Et c'est comme ouvrant le testament qu'ils sont aperçus que mon grand-père, il avait fréquenté la femme du maire. Et c'est comme ça qu'il a eu le terrain gratos. Pas con, le pépi. T'es intérrissable sur ta famille, hein, Jean-Claude ? Ah bah, pour moi, la famille, c'est tout, Serge. Moi, je ne saurais pas ce que je suis devenu s'ils n'avaient pas été ce qu'ils ont été. Oui, mais en même temps, s'ils avaient été différents, tu aurais pu être différent. Ouais, mais Jean-Claude, qu'on venait en différent, t'étais forcément moins bien. Faut voir. Non. Qu'est-ce que t'as à soupirer, Jean-Claude ? T'es pas bien ? J'ai envie de mourir. Carrément, mais file-moi ton bureau, alors. T'as pété l'axentia ? Non, ça va, l'axentia, ça va. C'est Vero qui est reparti avec un Italien ? Non, elle est sage à la maison. C'est Johnny, mon cadet. Pire. Pire que Valade. Voilà, avec Vero, on pense qu'il est pédé. Ah, oui. Comment tu... Il y a des indices. Par exemple, il s'est inscrit à la GRS. La quoi ? La gymnastique rythmique et sportive. Les gamines, tu sais, avec le ruban. Ah oui. Ah oui, c'est... C'est incroyable, quand même. De toute façon, ça n'a jamais été un vrai convenant. Il a tout réservé, le pauvre gamin. Et puis, surtout, il a pas encore ramené une gonzesse à la maison il y a 12 ans, Hervé. Mais peut-être qu'il te dit pas tout, qu'il est pudique. Ça existe, les gens pudiques, fure, toi. Tu vois un autre exemple, le week-end dernier, on part voir l'enduro du touquet en famille, et bien, il restait dans le camping-car, lire des livres. On lit pas, chez les convenants, on lit pas. Je sais pas parce qu'il lit qu'il est homosexuel. Écoute, parle-lui, je te jure. C'est trop tard, Hervé. Il nous l'a dit hier. Il a une grave nouvelle à nous annoncer pour ce soir au dîner. Je l'ai vu dans un film, il va faire son coming out. Coming out. Je pourrais pas le supporter. Le monde se divise pas en deux catégories, d'un côté les fiottes et de l'autre les quotards à l'ancienne. On a tous un côté féminin, même toi. Tiens, je te le prouve, des fois, t'es là tout seul, tu sais pas que les gens te regardent, t'es à la bâchette des cafés. Voilà, comme ça, tu tiens ton gobelet comme une taillère. Tu vois ? Tu sais ? N'essaye pas de m'embrouiller avec tes théories de cafetière à la con, là. On voit bien que c'est pas toi qui vas le chercher à sa gym, le gamin. Je crois les entendre des mères de famille. Tu sais, je t'ai dit tout ce que j'ai construit pour n'arriver là, merde ! Tu vas quand même pas renier ton fils parce que... Je l'ai fait ! T'es pédé, quoi, enfin, le petit Johnny, tiens, pour prendre un exemple, petite touche, même le grand Johnny. Le grand Johnny ! Tu sais, des fois, il... Oui, non, mais je l'ai lu dans un torchon. Je sais faire le dislinguaux. Attention. J'espère quand même que c'est pas contagieux parce que c'est quand même un gros con. Oh, le JC ! Je parlais de toi, tiens. Je suis soulagé, là. Je suis sur la ligne. Mais tu sais par rapport à la nouvelle que Johnny va nous annoncer ce soir ? Oui, oui, oui. Et bien, ça y est, je sais, il y a le centre aéré qui m'a appelé. Il a engrossé deux petites camarades, et voilà. Je fais très marrer, toi. Et ça t'angoisse pas d'avoir un fils qui est père à 12 ans de gamine de son âge ? Mais tu comprends pas que... S'il a engrossé, c'est que c'est pas une théière ! Tu comprends ça ? C'est déjà plus dans la tradition des convenants. Je vais même te dire un truc. C'est peut-être le plus convenant d'entre nous tous. Parce que fallait-ils penser s'inscrire dans un club où il y a que des petits tourbodies ? C'est malin, ça ! Mais ça, c'est les gènes, ça. Tu comprends, ça s'affine de génération en génération. Et c'est que le début, hein. C'est un début qui promet. Et dis-moi, il gagne combien, le grand patron, par mois ? Trop. Je préfère pas te le dire, tu vas avoir mal à l'aise. Mais si, dis-moi, Anxantia s'est fait comment ? Comme ça, je me rendrais bien compte. Anxantia, une dizaine par mois avec toutes les options. Le cuir, l'autoradio, le... J'en ai marre, Hervé. La direction me prend vraiment pour un pigeon. Je me fais exploiter ta même pas idée. Ouais ? J'ai pas idée, j'ai pas idée. T'as surtout pas idée à quel point je m'en fous. C'est dégueulasse de dire ça ! T'es syndicaliste, tu pourrais m'aider un peu. Tu es syndicat, toi ? Bah non. Bah alors tu te démerdes tout seul. Parce que dire que les syndicats sont dépassés, c'est très bien. Mais faut pas venir me pleurer dans la chemisette après, OK ? Mais attends, tu crois que je serais digne de rentrer dans ton syndicat ? Ah, ça dépend, je sais pas. T'es prêt à aller jusqu'où dans la lutte contre le patronat ? Parce qu'il faut avoir des cojones, ça. Aller jusqu'à la guérillasse syndicale, tu passerais, toi, des secrets confidentiels aux camarades, par exemple, toi qui as accès à tout ça dans la boîte. Bah enfin, c'est confidentiel, Hervé. Je vais pas briser mon type long de carrière. Alors, Marcos, minimum. Attends, le l'homme à la cagoule ? Comme celle de Batman, mais tout en tricot ? Mais pourquoi tu m'en as pas parlé avant ? Afficher ça aux yeux, au vu de tout le monde, mais t'es inconscient ou quoi ? Mais moi, je croyais te faire plaisir, je voulais faire mes preuves, moi. En plus, tu signes ça, le vengeur masqué, mais c'est complètement péril, mon propre garçon. Mais c'est toi qui m'a dit qu'on était dans une lutte à mort avec le patronat, alors... Mais la lutte syndicale, c'est plus compliqué que ça. Tu te rends pas compte du coup que tu portes aux travailleurs, là ? Mais au moment de la révolution des tickets resto, c'est un coup bas, ça, afficher le salaire du patron comme ça. Vous voyez le barouf que ça fait là-haut ? Ce coup-là, le patron, il est pas prêt de le digérer. En tout cas, c'est efficace. C'est pareil que pour les tickets resto, ça va passer cette fois. Bravo, Hervé, mon vengeur masqué. Non, mais... Ta gueule ! J'en connais bien la tonne mouret, Hervé. Tu panaches ! Tu sais, la lutte syndicale, ça doit être aussi un peu ludique. Dis donc ! Tu sais que c'est torché, c'est écrit, t'as une vie. Merci, tu fais mon boulot. Mais arrête de tirer cette tronche ! De toute façon, t'as pas les épaules pour assumer ce genre d'acte. Vaut mieux que je le prenne sur moi. Tu m'en remercieras plus tard. Fais-moi confiance. Mais t'es pourveillé de m'insulter, oui. Je t'insulte pas, je te remercie, là, en fait. C'est ma manière. J'ai pas été aux syndicats, ils sont à fond pour t'intégrer. Salut, vengeur masqué. Il y a le patron qui voudrait te voir. Ah ouais ? Pourquoi ? Parce que j'ai oublié d'afficher les stock options, mais ça va venir, t'en fais pas. Mais là, tu viens de toucher un point sensible. Je vais s'arranger avec toi, comme il le fait d'habitude. Discrètement. J'ai une petite enveloppe pour toi. Bon, bah écoute, je suis pour le dialogue social. Pour le dialogue avec le patron. Je suis dans mon rôle, j'arrive. Tu veux que je t'aide, camarade ? Non, non, reprends-toi les fraises, j'arrive tout de suite. Il m'attend dans son bureau ? Non, non, non, il t'attend dans le parking, on sera plus tranquille. D'accord, oui. Il est très, très fort. Moi, j'aurais pas pu. Ça s'est bien passé, nos négociations ? Oui, oui, oui. Mais c'est quoi, ça ? Ça, c'est le stylo qui a servi à la signature des accords. Et Hervé, il est où ? Ah bah, il se repose. Il l'a bien mérité, tu sais. Ah oui ? Alors Maïva, tes cours de self-defense ce soir, tu continues toujours ? Ah ouais ? Ouais, t'as raison. C'est hyper important pour nous, les gonzesses, de savoir se défendre. C'est quoi les trucs qu'on t'a dit ? C'est pas un truc de défendre, c'est de se défendre. C'est pas un truc de défendre, c'est de se défendre. C'est quoi les trucs qu'on t'apprend ? Il y a un truc que je maîtrise pas trop mal. Bon, ça, c'est si le graisseur est un garçon, si c'est une fille... Ça marche aussi, Maïva ! Salut ! Je vous ai préparé ma petite liste de courses. Alors vous faites attention, la dernière fois que vous avez oublié mes fibres. C'est très important. Je vous ai tout écrit en rouilles, très grosses. Oui, oui, oui, pas de problème. Écoutez, je termine d'archiver les dossiers de Fred, la compta de Sylvain, et je vous donne ma pause déjeuner. D'accord, mais vous n'oubliez pas mes fibres. Non, non, j'oublie pas. Oui, oui, oui, vous inquiétez pas. Ani, je peux vous parler deux secondes, là ? Ah, bah oui, bien sûr. Dis-moi, jamais on vous a appris à dire non, tout simplement non, comme ça ? Je vois pas ce que vous voulez dire. Bah, vous allez faire ses courses, là. Et pourquoi pas son ménage à autre enfoiré pour qu'on y ait ? Je le fais aussi. Attention, je me fais pas payer. Pas d'histoire d'argent entre collègues. Vous comprenez pas qu'on abuse de votre gentillesse, là ? Dire oui comme ça à tout bout de champ, à n'importe qui, à n'importe quoi ? Vous voulez bien m'en faire menacer ? Ah, bah oui, bien sûr. Mais non, Ani, non ! Faut savoir dire non, de temps en temps. C'est une question de dignité. Oui, monsieur Herve, oui. Vous comprenez pas que dire non, c'est le meilleur moyen de se faire respecter en tant qu'individu ? Dire oui, globalement, sur le long terme, c'est négatif. Alors que dire non, de temps en temps, finalement, il s'avère que c'est positif, quoi. Dire oui, mais non, mais non, mais oui, mais non, en fait. Non, non. Vous comprenez ? Oui. Mais non. Mais non, ça. Vous voyez, vous n'arriez pas à chercher ma veste dans mon bureau, là, parce que j'ai un peu froid. Non. C'est très bien. Et mon autre cravate, vous voulez pas voir, là, parce que j'ai un rendez-vous et... Non, non, non. Très bien. Bravo. Bon, on fait une petite pause. Vous auriez pas une pièce pour prendre un café ? Ah, bah oui, attendez. C'est un piège ! Et vous tombez dedans ! C'est incroyable. Écoutez, promettez-moi une chose, Ani. Dans la mesure, le possible, dites non. On oublie oui. D'accord. Voilà. Au fait, Ani, le garage du patron, pardon, faut même virer toutes les mercailles dedans. Vous faites ça quand vous voulez, mais ce serait bien si c'était fait d'ici une heure. Je veux dire, niquez le chrome. Non. Ha ! T'as entendu ça ? C'est la révolte des sangrabes. Ani, t'as dit non. Elle est très fortiche. Elle a des bollocks. Même moi, j'aurais pas osé. Bravo, Ani. Dites-moi, Ani, c'est qui le con qui vous a appris à dire non ? Attendez, attendez. Ce serait pas par hasard un syndicaliste aux idées courtes et aux manches du même format. Comment vous avez deviné ? Alors oui, oui. On me chi dans les bottes. On m'a pris pour un chauffe-eau. Et moi qui me taisais sur ton petit manège. Quel petit manège ? Le coquin. Le surplus de cure-faux galafoir à tout depuis dix ans. Y a pas de petit profit. Moi, je veux bien être arrangeant. Mais si c'est non, bah je réponds plus de rien. Bon, mais on plaisantait, hein, André ? On va arranger ça, Ani. Vous allez faire ça très vite. Et puis on parle plus. Non ! Vous savez bien la promesse. Mais oui, mais non ! Mais faut savoir s'adapter, Ani. Je vous ai dit, pas non systématiquement. Autrement, ça veut rien dire. Je vais vous donner un petit coup de main, OK ? Non, non, non, non, non, non, non ! Non, non, non, non, non,Baby ! Elle a raison, hein. Y a des fois, faut savoir dire non. Eh oui, non, non, non, non, non, non, non, non ! C'est bon, on a compris. C'est non, quoi. Allez, encore une fois. Bon, dernière, hein. Bon, tiens, t'aimes les jolies filles ? Bien sûr. Les filles moches ? Faut voir. Les hommes ? Ah non ! Ah, t'as dit non, là. Ah ouais, j'ai dit non. Bah écoute, tu me donnes une gifle. Je peux ? Essaye. Non, non, non, je... T'as dit non, là. Ah bon ? Mais arrête ! Non, commence. T'aimes les... Quelle galère de trouver ma part, c'est pas vrai. Moi, alors, celui-là, trop petit. Celui-là, il est pas mal. Ouais, il est bien équipé. Ça pourrait me convenir, ça. Tiens, je le note, je mets de côté un un. Bah alors, Jeanne, tu fais les petites annonces ? Bah ouais, j'en ai passé une, bien obligée. Au point où j'en suis. Mais alors, ça ramène ? Tu parles. Attends, j'allais bien préciser. Dans un coin tranquille, il y a un mec qui m'a proposé un truc au-dessus d'un sexe choc. Il m'a proposé un truc au-dessus d'un sexe choc. Il m'a proposé un truc au-dessus d'un sexe choc. Et un autre, ouais. Un plan à plusieurs. Non, quand je connais pas, je sais pas. Ah bah, mais c'est ça. T'as raison. Mais qu'est-ce qu'il y a ? Quoi ? Regarde-toi, Jean-Claude ! T'as l'air de quoi, là ? Ça y est, j'ai trouvé. Jeune femme, 30 ans, cherche blind date avec mal bien équipé. Tu rencontres ta bride dans un coin tranquille. Et tu dis toute proposition sauf à plusieurs rendez-vous chaque jeudi soir au routier chez Francis, table du fond. Mais enfin, Jacques, voyons ! Mais arrête ! C'est ce soir ! Mais non, mais t'es fou, elle ferait jamais un truc pareil, voyons ! Mais je te jure, Hervé, sur ce que j'ai de plus cher ! Ah ouais, sur la tête de tes enfants, tu jurerais ? Sur la tête de mon camping-car, Hervé. Et puis attention, c'est que c'est une gourmande, la Janette. Regarde, ça, c'est l'annonce gold ! Emplacement central, choix de la typo ! Ça, ça coûte cher, hein ! Je vais y aller, soir. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Et puis, je vais aller voir la Janette. Mais non Hervé, ça c'est pour les gens qui sont mariés, qui se font chier, tu comprends ? Tu sais pas ce que c'est que de devoir faire l'amour à la même femme chaque jour que Dieu y fait ? Hein ? Toi t'es tout seul, tu sais pas ça ? Ouais c'est vrai, je... Ouais ouais ! Ah Jeanne ! Ah Hervé ! Dis-moi, j'ai vu Jean-Claude, il m'a parlé de ton annonce. Ah c'est sympa de sa part dis donc ! Alors t'as pas une idée ? Oui, c'est vrai. Parce qu'attention, faut pas que ça soit trop petit. Ouais mais j'ai ce qu'il faut je crois. C'est pas vrai ! Combien ? 20 ? 25 ? Minimum hein ! Non mais attends, attends ça court pas les rues tes exigences, ça fait marrante. Tu ris de gueule, j'en ai vu plein sur internet ! Ah ouais ? Bah moi excuse-moi, j'ai que 12.5 à te proposer ! Attends, 12.5, qu'est-ce que tu veux que je fasse avec ça ? Moi je cherche le bel pied, ça me paraît, non ? Tchaa ! Très libre ! Ah tiens, te voilà toi ! Bravo alors tu confonds les agences immobilières avec les boîtes à partos ! Quoi ? Jeanne elle cherchait un appart ! C'était pas elle qui a passé l'annonce, imbécile va ! Je sais. Ah ouais ? Je suis allé au rendez-vous chez Francis. Ouais bah j'espère que c'était bien pourri ! Assez ouais, c'était ma femme. Hein ? Elle cherche un appart ? C'est bien aujourd'hui qu'on donne son sens, c'est ça ? Mais oui, tu vois bien, ça fait mille fois qu'on te le dit. J'aimerais bien qu'il se mangue parce que j'ai pas accès à foutre moi. Eh mais moi aussi j'ai du boulot depuis, j'étais avant toi. T'étais avant moi ? Oui j'étais avant toi. Eh les gars le carnage, hein ? N'y allez pas, elle arrivait pas à trouver la veine. 11 trous qu'elle m'a fait. Oh tu es... C'était pas une aiguille, c'était une pioche ! Bon alors, c'est qui le suivant ? C'est lui ! C'est lui ! Bon on est bien d'accord qu'il y a rien qui nous oblige à rester là ? Non absolument rien, on est là parce qu'on le veut bien, gracieuse don même. Et si on part ? Si ? On aura de compte à rendre à personne ? Mais absolument pas, attends t'as signé un truc toi, tu t'as engagé ? Moi ? Moi ? Non, et toi ? Que dalle, rien ! Bon alors on peut partir ? On y va même. Attends, attends. Bonjour. Dites-moi vous êtes déjà passés ? On a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a... on a on a... le don de sang, le don d'organe. Si ça peut sauver, ben il faut pas hésiter. Vous avez votre carte de donneur dans le cas où vous avez un accident. C'est ça ? C'est en cours. J'y ai signé les papiers. Je leur donne tout. Je file tout. J'ai rien à foutre de moi. Moi, pareil. calendar켜pe Jeder causes Le viewingู้ Iheur olá Ça c'est la faculté d'amiens qui a une option de plus. Faut dire que il est spécial. Je le rende tout le jour. Finalement, quand on fait ses démarches, un don du sang, c'est une formalité. Une broutille. C'est notre devoir. Qu'est ce qu'il y a ? Oh... Ah, c'est l'infirmière. Quoi ? Elle s'est énervée parce qu'elle trouvait pas la veine. Oui. Et moi, j'ai paniqué. Je lui ai vomit dessus. Fram. Sire ! Ah bah y'a plus personne. Bon bah j'y vais. C'est bon. T'es sûr ? Oui oui oui, c'est bon mais faut pas traîner ici si jamais elle revient. Non mais par le plus bas elle peut revenir. Oui, t'as raison. Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
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