Vivre et danser avec les ombres
La colère (et parfois la violence, mais il ne faut pas les confondre) jailit pour marquer la défense d’un territoire ou d’une identité attaquée ou violée. Mais elle est aussi une forme d’expression de la peine et de la souffrance, et surtout la preuve d’une grande sensibilité à l’injustice. La colère peut signifier aussi une volonté, une rage de vivre, et même de vivre ensemble.
« Avec une colère à moitié réprimée, j’ai tendance à me balancer et à faire quelque chose d’impétueux et d’ignorant. Mais une colère bien sentie, ancrée et familière peut me motiver à travers un engagement à vie pour améliorer les choses »
Posture pragmatique (suivre ce que cette expérience nous apprend) plutôt que déterministe (savoir à l’avance ce qui va se passer)