I hereby claim:
- I am gaalcaras on github.
- I am gaalcaras (https://keybase.io/gaalcaras) on keybase.
- I have a public key whose fingerprint is B86D D80A 26CD F2A5 E981 7933 FF36 55F3 8A95 A8D9
To claim this, I am signing this object:
# Maintainer: Manuel Mazzuola <origin.of@gmail.com> | |
# This particular update is brought to you by gaalcaras (https://keybase.io/gaalcaras) | |
pkgname=turtl | |
pkgver=0.6.4 | |
pkgrel=2 | |
pkgdesc="Turtl lets you take notes, bookmark websites, and store documents for sensitive projects." | |
arch=('i686' 'x86_64') | |
url="https://turtl.it" | |
depends=('gendesk') | |
license=('GPL3') |
I hereby claim:
To claim this, I am signing this object:
L'histoire des liens entre la génération hippie et les entrepreneurs de la Silicon Valley est loin d'être inconnue. Steve Jobs a contribué à populariser cet itinéraire typique, du LSD à la micro-informatique, du mysticisme vers l'Internet. Il s'inscrivait volontiers dans ce mouvement culturel des années 1960 et 1970. « Prendre du LSD a été l'une des deux ou trois choses les plus importantes que j'ai faites dans ma vie », disait-il en 2005 au journaliste John Markoff — en conspuant au passage Bill Gates, qui aurait été un « type plus ouvert s'il avait pris de l'acide une fois dans sa vie ». Et dans son fameux discours de Stanford, Jobs dédie ses derniers mots à un certain Stewart Brand et à son Whole Earth Catalog, reprenant l'iconique formule : « Stay Hungry. Stay Foolish ».